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L’ARGENT,
LA
PROPRIETE,
l’ECHANGE
L’être humain pour qu’il mange, respire, boive, évacue les
déjections, se repose, dort, soit en bonne santé et fasse
l’amour et cetera
(ensemble de droit inné ou naturel). . . Il lui faut
de l’argent. Dans une société d’exploitation ou ESTESMAR, on
ne permet à personne de toucher la nourriture, même si vous
êtes à côté d’elle ou que se soit des restes, même si vous
mourrez de faim, même si la nourriture pourrit ou
même qu’elle soit en surproduction, on
ne la donne même pas aux animaux sauf s’ils ont de
l’argent et qu’ils payent, c’est à dire qu’ils achètent, et
ceux qui touchent la nourriture (c'est-à-dire voler),
même soit disant par erreur, on leurs envoie
les gardiens de la paix, la police, les forces armées et
tous les organes
longues et larges de l’administration, espion, Etat
et religion et
ils construisent des barbelés et remplissent les prisons,
ils décrètent des lois et des articles.
Ceux qui font soit disant des erreurs savent très
bien qu’ils ont à faire à des monstres.
Pour les autres éléments de droit inné c’est la même
chose. Dans la société d’exploitation de l’homme par l’homme
tout est payant et se résout qu’avec de l’argent.
L’argent est une marchandise ou un objet, une
chose que l’on peut échanger. N’importe quelle chose,
même un rien, peut être marchandise. En réalité l’argent est
une marchandise que les individus se relient ou
contactent ou
contractent.
L’argent: c’est à dire que à la place de quelque chose donné
il faut quelque chose d’autre à rendre, c’est à dire en
contre partie on fait quelque chose d’autre, il faut
toujours quelque chose en contre partie.
L’argent, dans la relation entre les individus, a une
signification, sinon il n’a pas de sens et crée une forme de
relation entre les individus dans la société.
L’argent est un élément d’ESTESMAR.
Les êtres humains, pour leur droit inné, dépendent de
l’argent. C’est que le droit inné dépend d’un élément
étranger et étrange.
La dépendance des êtres humains à la nourriture, à l’air, à
la terre, à faire l’amour, à évacuer leur déjection, au
temps et espace, n’est pas dans sa volonté pour qu’ils
soient obligs de les payer, et l’homme pour se les
procurer, fait
n’importe quoi, et
se vend comme marchandise. C'est-à-dire que
l’existence de l’individu et de la société dépend d’un
élément étranger et à part. C’est pour cela que l’assassinat
d’une ou des populations pour l’ESTESMAR n’a pas de sens.
L’argent est une marchandise que l’on peut échanger avec
n’importe quoi. L’échange avec cette marchandise ou
d’autre ou
plusieurs marchandises, c’est l’achat et la vente qui est
l’échange.
Tout ou n’importe quoi peut être marchandise même ce qui
n’existe pas. La marchandise est quelque chose qu’on donne à
la place de quelque chose d’autre, si non ce n’est pas une
marchandise. Donner et prendre des marchandises, c’est
l’échange, celui-ci est un élément de l’ESTESMAR. La logique
n’est pas que l’autre a un besoin vital, mais en échange il
faut absolument donner quelque chose. L’échange sans
marchandise ne marche pas et n’aura pas lieu et la relation
entre deux personnes ou groupe ne se fera pas. La
marchandise n’est là que pour l’échange. L’offre et la
demande sont des éléments d’échange.
Quand quelqu’un offre, c’est parce qu’il y a une
demande et vice versa. Que l’un donne et l’autre en face
prend quelque chose d’autre et puis on trouve toujours un
demandeur, mais le demandeur n’est pas quelqu’un qui ne
donne pas. Le demandeur doit obligatoirement avoir de
l’argent ou la propriété (quelque chose qui lui appartienne
et qui est marchandise également), pour que la relation
entre l’offre et la demande soit établie. Les êtres humains
sont friands de n’importe quoi (dans le cadre de droit
inné). L’échange dépend de
l’argent et de la propriété. Le capital n’est que les
marchandises accumulées. Le capital peut être de l’argent ou
une autre marchandise. Les marchandises ne sont
pas toujours matériels, mais aussi immatériels ou
morales (abstrait et concret).
L’argent est la
seule marchandise qui se déplace très facilement,
s’accumule, s’additionne, se change et s’échange aisément.
Il facilite la vente et l’achat et sert aussi pour mesurer
la valeur des choses qui est précisée par les exploiteurs et
leurs organes, c’est à dire l’Etat et ses administrations.
Parfois les exploités ont une petite influence mais ce n’est
pas toujours le cas.
L’argent peut prendre n’importe quelle forme et s’échanger.
A n’importe quel moment on peut imposer le système le plus
simple et pratique (pour les exploiteurs et ses organes non
pas pour les exploités) mais ce sera toujours de l’argent.
La réalité de l’argent est dans la relation entre les gens,
car en fait l’argent n’est que du métal, alliage, du papier
ou carte électronique ou d’autre objet ou élément. L’argent,
sous quelque forme que se soit, tant qu’il n’est pas accepté
par la relation entre les gens reste que du papier ou
alliage ou du plastique. Donc l’argent est une forme de
relation.
L’argent, pour n’importe quel quantité que se soit, il
faut :
-
Le surveiller : afin que d’autre ne se l’approprie,
ne le vole pas.
-
Le chercher : puisque le droit inné dépend de lui, il faut
que tout le monde le cherche.
-
Crée une force : il faut sortir les dents et les griffes,
parler fort et se montrer fort pour que les autres ne
l’approche pas.
-
Décider et juger : il donne la possibilité de décider. Celui
qui a de l’argent ou propriété ou marchandise décide et
juge.
-
L’argent est précis. Il n’appartient et ne doit appartenir
qu’à une personne. Il se centralise pour lui. Et s’il
appartient à une ou plusieurs personnes, dans une période
plus ou moins longue, il sera partagé ou dérobé par l’une ou
l’autre, de n’importe quelle manière, même au sein de la
famille. L’argent ne peut pas appartenir à plusieurs, c’est
parce qu’il devient instable et décentralisé. L’argent a
besoin d’être stable et centralisé pour pouvoir progresser.
-
L’argent ne connaît ni pitié, ni sentiment, ni amitié, ni
solidarité et ni âme. Il ne connaît ni sœur, ni frère, ni
mère, ni père, ni ami, ni dieux ni même ses représentants.
c’est parce que lui est dieu
tout puissant et capable de tout.
-
L’individualisme, l’égoïsme, l’avidité, la cupidité, le
narcissisme, la vantardise, le désintéressement et le
marginalisme de l’homme proviennent de l’argent. L’argent
dit à l’homme, il n’ y a que toi et seulement toi,
les autres on s’en fout !
L’argent
a d’autre forme
également, c’est la propriété ou le capital. Quand quelque
chose à de la valeur, c'est-à-dire qu’il est accepté par la
relation et qu’il peut être échangé ou circulé. Tout ce qui
est devenu propriété n’est que
marchandise que l’on peut échanger et qu’il faut un
jour échanger. L’argent est la propriété, est l’échange. Ces
trois éléments sont apparus en même temps. Chacun a un
aspect
différent de l’autre. Quand il y a de l’argent, il y a de la
propriété et vice versa. Et quand il y a de la propriété, il
y a de l’échange et vice versa .C’est trois éléments sont
inséparables, ils sont apparus par une série de règles et
lois et donnés. L’argent domine l’homme. L’homme l’a créé,
mais il lui est étranger.
ESTESMAR, c’est l’argent, la propriété et l’échange.
La plus grande concentration d’argent sont les banques. Tous
les objets ou marchandises ne peuvent pas être de l’argent
comme les terrains ou les avions et cetera…
C’est parce qu’ils ne sont pas maniables et ne
peuvent pas
facilement circuler, pourtant ils sont de l’argent. Mais
certain matériel facilite la tâche de l’argent,
ils circulent sous forme de papiers, métallique ou
cartes électronique et magnétique
qui ont de la valeur. N’importe quelle marchandise
appartient à quelqu’un, c’est la propriété et n’importe
quelle propriété est une marchandise qu’on peut
vendre ou acheter, c’est à dire
échanger. L’argent est la propriété et vice versa.
L’argent, la propriété et l’échange ont différentes formes
qui existent dans la relation entre les êtres humains.
L’argent est la forme la plus simplifiée, plus aisée, plus
adaptée, plus mobile,
plus fonctionnelle, plus souple, transformable,
renouvelable, convertible, accumulatrice, exécutable,
efficace et accélératrice de la propriété. Quand il y a la
propriété et l’argent, alors il y a une force derrière eux
qui les gère, les défend,
les protége et les juge. La propriété et, ou l’argent
quand il est en très petite quantité une seule personne s’en
charge pour le garder, le surveiller, le gérer, le défendre,
l’échanger. Mais quand il est de plus en plus grand, alors
il y a plus de force,
de garde, de défense et de gestion,
d’administrations, les armés, les gardiens et l’Etat ainsi
que le système judiciaire. La propriété ou l’argent,
seulement dans la relation humaine, se réalise et
a un sens. Il doit être accepté par la société (la
relation humaine). C’est à dire que l’ESTESMAR forme la
relation humaine à sa manière.
L’endroit où la propriété et l’argent, c’est à dire la
marchandise, s’échange ou se vend et s’achète est le bazar
ou marché et il y circule plus vite. Aucune marchandise
n’est sans mouvement et sans changement si non, tôt ou tard,
c’est la mort. L’ESTESMAR est toujours en mouvement.
N’importe quel immobilité est signe de
mort pour l’ESTESMAR. Cette mobilité existe dans la
relation humaine. Les monnaies dans une période courte ou
longue se déchirent ou vieillissent, mais ce qui tient
l’argent, c’est cette relation entre les gens, même si les
billets et les pièces de monnaies ou carte et cetera,
par le temps disparaissent. L’argent et la propriété,
c’est dans la relation entre les gens qu’ils prennent
une signification si non ils n’ont pas de sens. Dans
l’argent on voit la propriété et vice versa.
L’argent et la propriété change dans l’espace et le temps,
et sont des éléments historiques.
Il y a deux formes de propriétés : la propriété privée et la
propriété sociale.
La propriété privée est une ou des marchandise qui
appartienne à un individu.
La propriété sociale est une ou des marchandise qui
appartienne à deux ou plus (groupe ou société). Elle peut
prendre n’importe quelle forme, elle est toujours
propriété, et appartient à quelqu’un ou plusieurs mais pas
aux autres, c’est un élément d’ESTESMAR.
La propriété privée ou sociale est une marchandise que l’on
peut échanger,
vendre ou acheter.
L’un la possède,
l’autre ou les autres ne l’ont pas et s’ils la
veulent, il faut donc la payer. C’est à dire en contre
partie il faut donner quelque chose d’autre.
La propriété, qu’elle soit capitaliste,
socialiste ou autre sont des propriétés.
Le droit inné est un élément intérieur de l’organisme, par
contre la propriété est un élément extérieur et étranger. La
propriété existe
dans la société humaine mais pas chez les autres
animaux. La propriété est une relation que l’homme apprend
par et dans la
société humaine.
On lui impose et on lui fait absorber. C’est la
société humaine ou n’importe quoi peut être propriété, et
peut lui appartenir.
L’homme naît pour son droit inné et se le procurer. Le droit
inné n’est pas propriété, ni privée ni sociale. L’existence
d’un organisme ne dépend pas d’un élément étranger. Pour la
nature, la propriété est incompréhensible. Seulement les
êtres humains s’échangent de l’argent, et on leur en
demande. On ne peut pas demander aux animaux de payer. Pour
aucun organisme vivant sur terre la propriété n’a de sens
sauf chez les êtres humains. Par exemple : la terre n’est ni
à vendre, ni à acheter, même les produits qui en sortent. La
propriété dans la nature n’a pas de sens. Ce sont les êtres
humains qui lui ont donné une signification et qui
transforment n’importe quoi en propriété. L’Etat la
considère comme sa propriété et puis la vend, y compris au
privé, qui a également un rôle d’Etat.
Dans la nature, aucun des organismes vivants n’a rien de
plus que son droit inné, sauf les êtres humains. Eux aussi
ne doivent pas avoir plus que leurs droits innés. Le droit
inné n’est pas la propriété.
La propriété est une marchandise que les autres n’ont pas ou
ne doivent pas
avoir sauf s’ils payent,
puis elle sera échangée. Et si tout le monde en a,
alors elle n’est pas propriété. La propriété existe parce
que la relation entre les gens est basée sur elle. Tous ceux
qui ont plus
que leur droit inné font partie de la propriété.
Personne
n’a le droit
d’avoir plus que son droit inné. Tous ne peuvent
être la propriété sauf si, tôt ou tard, on peut
l’échanger,
le vendre ou l’acheter et l’on donne quelque chose en
contrepartie. . Par exemple : les êtres humains ont des
membres, ils seront la propriété au moment où on les vend,
on les achète, on les considère comme capital. Les capitaux
sont des marchandises
(propriété) qui s’échangeront un jour. L’argent est
la propriété. C’est un genre de propriété qui a changé de
forme et qui est devenu un objet qui peut facilement
circuler, s’additionner, se multiplier, changer sa forme et
son aspect, transformable, renouvelable, convertible, aisé,
adapté, efficace et fonctionnel et prend la place de
n’importe quelle propriété ou marchandise,
qui s’échange facilement et facilite la vente et
l’achat. Par contre, la propriété, sauf l’argent, n’a pas
ces caractéristiques. Il est tellement maniable qu’on peut
le mettre dans la poche. On peut mettre toute l’Afrique,
tous ses esclaves, ses animaux dans un sac ou dans une poche
et les transporter partout. On peut aussi acheter et vendre
un pays
(propriété des exploitants et ses esclaves) et les mettre
dans un sac. Bien entendu, ils (les riches) l’ont déjà fait
dans l’histoire de l’homme.
La vente et l’achat, c’est l’échange, c’est à dire faire du
commerce. Certaines propriétés restent longtemps dans la
possession d’une ou de plusieurs personnes, mais tôt ou tard
il faut qu’elles soient échangées et le seront
obligatoirement.
L’argent, pour son caractère très maniable, est utilisé
également comme un instrument de mesure. La valeur de cette
mesure, est établie par les grands exploiteurs et l’Etat.
L’ESTESMAR est une maladie contagieuse, elle a touché toutes
les sociétés humaines sur
Terre, et si un jour, pour une raison quelconque, on
trouve les extra-terrestres ils l’attraperont également.
Cette maladie apparaît, n’ importe où et n’importe quand, si
ses éléments qui l’a constituent n’ont pas disparu.
L’ESTESMAR ensorcelle les gens de telle manière que même
s’ils ont tout ce qu’il faut pour le droit inné, ils veulent
gagner plus et encore davantage et ils en
prennent
goût et habitude au fur et à mesure et même par force. C’est
parce que l’argent ne peut pas rester tranquille, si non
c’est la mort. L’argent a peur de la mort, sauf si la mort
l’aide à vivre. Il faut toujours dépenser et gagner plus.
Les marchés ou bazars sont les endroits ou les marchandises
(les propriétés et l’argent) s’échangent et circulent
plus vite.
Les marchandises quand elles arrivent
au marché, ce n’est pas pour l’objet (abstrait ou
concret), mais pour l’argent, c’est à dire le vendeur voit
en son objet de l’argent. Les vendeurs, leur problème, c’est
l’argent et non
les marchandises,
par contre pour l’acheteur en général, c’est la
marchandise. Les commerçants (tous ceux qui ont quelque
chose à vendre, abstrait ou concret) pensent toujours à ce
qu’ils peuvent vendre, trouvé les marchandises adapté,
comment le vendre, à qui les vendre, où les vendre pour se
procurer de l’argent et encore plus d’argent. Les
marchandises ont des valeurs que l’on peut échanger contre
de l’argent. Les échanges sont les petites veines d’ESTESMAR
et les marchés ou les bazars sont ses artères et les banques
centrales sont son cœurs. Bazars ou marchés sans l’argent,
la propriété et l’échange n’ont pas de sens. L’argent et la
propriété, c’est dans l’échange qu’ils prennent vie. Les
marchés, bazars ou
centres commerciaux sans l’argent, la propriété et
l’échange n’ont pas de sens. Il y a différentes formes de
marchés ou bazars. Il y a des petits marchés, des grands et
des plus grands. La Ville a une signification commerciale.
En fait, les villes sont les plus grands marchés ou centres
commerciaux. Celles-ci sans marchés, bazars ou commerces
n’ont pas de sens et ne peuvent pas vivre longtemps.
L’existence des villes dépend des marchés. Les villes sont
apparues pour les commerces ou les échanges.
L’homme dans la ville se vend et gagne plus facilement de
l’argent pour ses besoins innés. Elle est le centre de
l’argent, de la propriété et de l’échange, grâce aux
marchés, bazars et
centres commerciaux. C’est pour cela que les gens
envahissent les villes car elles leur donnent plus de
possibilités de vendre et d’acheter, on peut trouver plus de
choses. L’homme
se présente
mieux et se vend mieux aussi. Les
villes sont les témoins des richesses, il y a plus de
possibilité
dans tous les domaines, on y trouve des grands et jolis
bâtiments qui, tous ou presque, appartiennent aux banques
(centrales de l’argent, de la propriété et de l’échange) aux
administrations (privées ou gouvernementales) aux hôtels
dits ultramodernes. On les a construit et on en construit
d’autre pour la propriété, l’argent et l’échange. Les êtres
humains ne font pas autant pour leur droit inné qui est
pourtant vital pour eux.
Les hommes (les marchandises) arrivent dans les villes et
les exploiteurs sont contents, parce qu’ils peuvent les
acheter moins chers et
les vendre plus chers, en réalité les exploiteurs
profitent de leur ignorance. Les exploiteurs profitent même
des différences entre ville, campagne ou village, entre les
autochtones et les étrangers, entre les américains, les
japonais, les occidentaux et les pays dits pauvres. Ils
gagnent même entre les différentes
monnaies et
langues.
Les êtres humains pour qu’ils puissent manger, ils faut
qu’ils payent, ainsi que pour respirer, pour évacuer les
déjections, pour faire l’amour, pour avoir des amis, pour la
santé, pour la propreté, pour la paix et la liberté, pour la
guerre, pour la croissance et le développement, pour la
séparation et la décomposition, la mort, pour rire, pour le
temps et l’espace, pour pleurer, pour la beauté et laideur,
pour la science, pour les arts, pour l’argent , pour un rien
il faut payer
et cetera, et cetera…
Chaque individu par rapport à ses données naturelles et
sociales s’adapte et réagit. L’homme est né pour vivre, et
pour vivre, c’est à dire son droit inné il faut qu’il se
batte, sinon c’est la mort. Mais pour
cela il faut de l’argent, et pour en avoir
il faut qu’il trouve différentes solutions et
situations pour se le procurer.
Alors il se vend. Certains vendent leurs forces, d’autre
leur sexe, leur
beauté, leurs jambes, leurs cheveux, leur anus, leur nez,
leurs yeux, leurs reins, la moitié de leur foie, leurs
enfants, leurs oreilles ou les autres membres de leur corps.
D’autres vendent leur connaissance ou leur savoir faire,
d’autres encore volent la nature et la vendent, ou même
volent la société de manière légale ou illégale, ouvertement
ou de façon cachée. Certains produisent et vendent à
d’autres qui eux-mêmes revendent et gagnent plus d’argent,
d’autres encore avec l’argent en gagne plus. C’est pour ça
que l’homme n’est qu’un esclave, qu’il soit riche ou pauvre,
exploiteur ou
exploité. Il est esclave de l’argent. Quand le droit
inné de l’homme dépend d’un élément étranger comme l’argent,
les gens se le procurent par n’importe quel moyen, et
certains dominent les autres.
C’est de là que naissent les classes ou couches
sociales. En réalité c’est l’ESTESMAR qui les a crées.
Quand la quantité d’argent et la propriété est plus grande
il faut :
-
Quelqu’un ou un organisme pour le gérer et pour cela il faut
un directeur ou un organisme pour diriger, décider et créer
des lois.
-
Quelqu’un ou un organisme pour l’appliquer.
-
Un comptable ou un organisme pour la comptabilité.
-
Quelqu’un ou un organisme pour les défendre et se charger de
leur surveillance et pour les défendre il faut un ou des
avocats et des juges.
-
Quelqu’un ou un organisme pour les garder, comme les
banques.
-
Si son affaire est très petite c’est lui même qui travaille,
si ce n’est pas le cas il a besoin de forces, c’est à dire,
les gens qui travaillent dans son entreprise.
-
Et pour tous ceux-là, la situation est telle que l’Etat s’en
charge, et bien entendu, chacun doit payer pour tous.
Tous ces éléments sont imposés par l’ESTESMAR. Toutes les
entreprises, qu’elles
soient petites ou grandes fonctionnent de la même
façon ou manière. Il faut savoir que certains de ces
éléments peuvent être cachés, par exemple : un petit
commerce n’a pas de surveillance particulière, c’est à dire
qu’on ne le voit pas, puisque le patron lui même s’en charge
par rapport à une situation donnée, ou se sont les membres
de la famille ou les amis, si non l’Etat, de manière
générale, par des lois et décrets et les administrations et
autres s’en
chargent. Mais quand l’entreprise est de plus en plus
grande, cette caractéristique se dévoile facilement.
Quand on a de l’argent on se sent bien,
parce qu’on sait qu’au moins on peut manger, acheter
des choses ou résoudre le problème de droit inné.
L’ESTESMAR (l’argent, la propriété et l’échange) donne la
possibilité d’acheter toutes les choses même celles que l’on
n’imagine pas.
Cette possibilité et cette capacité d’acheter tout ou
d’avoir tout, donne un sentiment de pouvoir, de puissance.
Chez la majorité des êtres humains, le premier esclave
qu’ils achètent et qu’ils sont capables d’acheter, c’est
leurs femmes et pour certains les hommes et on paye une part
à l’Etat. Quand
on achète quelque chose, c’est à dire qu’elle appartient à
celui qu’il l’a achetée (le propriétaire), s’il veut ou ne
veut pas, qu’il l’aime ou n’aime pas (pour n’importe quelle
raison que ce soit) il peut le jeter, le détruire,
le laisser tomber, l’abandonner, s’en débarrasser ou
le vendre. Il y en a même certains qui considèrent
que leurs enfants sont des propriétés ou marchandise.
ESTESMAR donne la possibilité d’aller beaucoup plus loin que
leur droit inné. Mais le problème c’est que tout le monde ne
peut être riche
si non ce serait la mort d’ESTESMAR, c’est parce qu’il n’y
aura plus quoi que se soit à vendre ou à acheter car tout le
monde les possèderait
alors il n’y aura plus d’échange. La Terre entière
n’est qu’une, chacun ne peut pas avoir une Terre entière à
lui tout seul,
sur la Terre il n’y a que quelques îles, tout le monde ne
peut avoir sa
propre île, tout le monde ne peut
avoir ou acheter de jolies armes nucléaires, à
rafales, bactériologiques ou avoir toute l’Afrique et
cetera… Si tout le monde était
pauvre ou riche, il y aurait des égalités et
l’ESTESMAR n’aura pas de sens. Donc, il faut toujours
une toute petite minorité, riche, bourgeoise, industrielle
ou moderne et civilisée, comme ils disent, qui doit dominer
les autres et une grande majorité pauvre ou presque ou sans
amour, affamée ou sans abri. Alors il faut que cette
majorité soit
l’âne (je m’excuse auprès de l’âne) pour que les riches
montent dessus et qu’ils choisissent sur qui ils veulent
monter.
Une petite minorité ne peut pas
être riche
si une grande majorité n’est pas
pauvre et
la nature
en bonne santé. Toutes les richesses, (des riches)
proviennent de l’exploitation abusive de la nature en
premier lieu, puis en deuxième, de l’exploitation de
l’homme. Etant donné que
les ressources naturelles et humaines sont limitées,
voler la nature et les êtres humains pour vendre et acheter
ne peut
durer longtemps et aboutira à la disparition de l’espèce
humaine.
Les règles, lois et donnés de l’ESTESMAR fonctionnent de
manière automatique et sans volonté humaine.
L’ESTESMAR n’aime pas l’immobilité, l’argent doit circuler
donc il fait circuler l’argent. L’immobilité ne l’intéresse
pas sauf si celle-ci lui
rapporte de l’argent, comme les banques.
L’ESTESMAR a besoin de gouvernement. Sans cela il ne vivra
pas longtemps, celui-ci est un élément de l’ESTESMAR, il lui
donne une certaine stabilité et empêche que les désordres
soient une barrière devant sa progression, sauf si ces
désordres lui procurent une certaine croissance, comme dans
la guerre.
L’ESTESMAR a parfois
besoin de désordre et d’anarchie. Il a besoin de
faire la guerre et
se moque complètement si les enfants, les femmes, les
hommes et la nature
disparaissent. Il n’y a qu’une chose qui compte,
c’est lui même, c’est à dire l’argent, la propriété et
l’échange, il
se fiche de ce que les gens pensent. Pour que les marchés,
les bazars et les autres endroits d’échange fonctionnent
bien, que l’argent circule bien et que les propriétés soient
assurées, il faut donc un gouvernement, celui-ci est un
élément vital pour l’ESTESMAR, comme les villes.
C’est l’ESTESMAR qui fait apparaître les différentes classes
sociales. Celles-ci sont basées sur l’ESTESMAR et non pas
sur autre chose. La société humaine n’est pas basé sur le
droit inné et que les guerres entre les classes ne résolvent
pas le problème du droit inné. Les guerres entre les classes
sont une guerre entre les concourants pour l’ESTESMAR. Les
pauvres se battent pour l’ESTESMAR, les riches également.
Les gouvernements et les métaphysiques
sont deux éléments qui
calment et gèrent la guerre des classes sinon ce sera
le désordre total. Quand il y a l’ESTESMAR il y aura
toujours le gouvernement et la métaphysique.
Il faut ajouter que le gouvernement est constitué de l’Etat
et lui même est constitué de trois pouvoirs (législatif,
juridictionnel et exécutif), alors la répartition de la
forme de gouvernement est différente dans chaque pays.
L’argent et la propriété sont des marchandises. Chaque
marchandise tôt ou tard doit être échangée si non elle
disparaît. Chez ESTESMAR n’importe quoi est marchandise ou
peut être marchandise et doit, tôt ou tard, être
marchandise.
L’économie, est la forme de l’ESTESMAR. C’est à dire la
façon de vie de l’argent et la propriété et l’échange.
L’économie sans l’ESTESMAR n’a pas de sens.
Dans l’ESTESMAR les termes comme public, populaire,
humanitaire, liberté, droit, naturaliste, paix, gardien de
la paix, amitié, amour, solidarité, écologie et cetera… non
pas de sens sauf s’ils aident à la croissance et au
développement de l’ESTESMAR. Par exemple : la rue est
publique, mais on a pas le droit d’y dormir ou de mettre une
table et une chaise pour y manger, ou pique-niquer et
cetera… que cela soit dans tous les lieux dits publics et
pour n’importe quelle raison.
Le système d’exploitation (la relation entre les êtres
humains), c’est
à dire l’ESTESMAR, existe dans tous les domaines de la vie,
dès la naissance, et même avant la naissance. Nous sommes
avec l’ESTESMAR jusqu’à la mort et même beaucoup après la
mort. C’est sûr qu’avec les morts et les enfants on gagne
plus.
Dans la société d’exploitation la majorité des
contradictions entre les êtres humains sont liées à
ESTESMAR. Tous les phénomènes et contradictions liés aux
classes sociales appartiennent à ESTESMAR et disparaîtront
quand l’ESTESMAR disparaîtra.
La concurrence est un élément de croissance et de
développement de l’ESTESMAR. C’est parce que l’homme veut
acheter moins cher et vendre plus, obligatoirement .Par
rapport à quelque chose donné, il en veut plus ou beaucoup
plus. Chacun veut avoir plus et donner moins (à la place de
quelque chose donné il faut rendre quelque chose). Cette
concurrence
n’est que la guerre pour gagner plus, et de plus en plus, et
de n’importe quelle façon, et n’importe où et n’importe
comment, et avec n’importe quel nom que ce soit (comme droit
de l’homme), et parfois jusqu’à la mort de son concurrent ou
des autres, et même jusqu’à l’extermination des populations.
L’échange ou le commerce est très lié aux mensonges, vols,
secrets, couvertures, dissimulations, arnaques,
cachotteries, tricheries, vantardises, charlataneries,
escroqueries, bluffs ,impostures, finauderies,
tromperies, guerres, bagarres, assassinats, tortures,
pillages et saccages. L’échange sans ces éléments ne peut
pas fonctionner. Si quelqu'un, un commerçant
ou n’importe qui, échange n’importe quoi, sans
utiliser ces
éléments, il
sera perdant, ou fera faillite, sinon l’autre le fera
sûrement. Et ils sont obligés de le faire, parce que
l’ESTESMAR l’impose. Ceux qui disent « moi je le fais
pas » mentent, parce qu’ils ne considèrent pas le mensonge
comme tel, c’est à dire les mensonges qui sont acceptés et
imposés par la relation entre les gens –le système-,
considérés comme bénéfiques dans
ce que l’on dit pour vendre ou acheter. Et s’ils
n’utilisent pas ces règles, ils ne pourront pas avoir de
bénéfice ou de profit. Qui crée les valeurs ? C’est
l’ESTESMAR, qui crée aussi les profits, les bénéfices. La
valeur n’a pas
de sens pour la nature.
Les exploiteurs volent la nature en
gagnant de l’argent et en s’enrichissant en
exploitant les autres. Pour les êtres humains un bout de
pain est une vie, mais pour l’ESTESMAR c’est l’argent (l’or,
diamant …). Pour la vie, un arbre, un grain ou une
miette a des milliards de fois plus de valeur que toutes les
pierres et métaux précieux et
autres puisqu’il est la vie. Tous ces éléments ne
donnent pas la vie mais y participent.
Ils sont capables de détruire toutes les espèces de
vie rien que pour quelques diamants,
l’or et autres.
Pour les
animaux et les végétaux, la vie est très importante mais
pour l’argent, la propriété et l’échange, elle ne l’est pas,
sauf si elle donne l’ESTESMAR.
Il faut savoir qu’un échange soit disant honnête, c’est avec
les règles, lois et donnés de l’ESTESMAR qu’il l’est.
Comme on l’a dit, la valeur d’un grain de riz ne peut être
mesurée sauf dans l’ESTESMAR. Toutes les formes d’échanges
dans la société, qu’elles soient légales ou pas, ne
fonctionnent qu’avec les règles et les lois d’ESTESMAR.
Les règles et lois des gouvernements sont basées sur
l’ESTESMAR. La constitution est basée sur lui. Une action
n’est honnête et légale que dans le cadre de la constitution
et de la métaphysique sinon, les affamés doivent payer pour
résoudre leur problème de droit inné.
La valeur est un élément d’ESTESMAR
car dans la nature,
elle n’a pas de sens, elle n’est pas sans profit. Ce
dernier est l’escroquerie légale, ainsi que l’achat et la
vente.
Le cœur de l’ESTESMAR, ce sont les banques. Elles sont la
centrale d’accumulation, de centralisation et de circulation
de l’argent. Les grandes artères, ce sont les bazars ou les
grands marchés. Ceux-ci sont vitaux pour l’ESTESMAR.
L’argent amène la tranquillité de pensée : morale et
physique,
mais aussi le repos, la paix, la simplicité et la liberté.
Lorsque vous avez de l’argent, vous êtes tranquilles, calmes
et vous avez moins de soucis, de tristesse, de chagrin,
d’affection et de désolation.
Avec l’argent on peut tout faire. Avec lui on change la
couleur de peau, on sépare les membres du corps d’un être
vivant et on les vend à celui qui paye,
on achète les membres moins cher et on les revend
ultra cher. On demande toujours de l’argent, il (l’argent)
met votre corps en exposition. Pour la mort et la naissance
ils prennent de l’argent. Pour ne pas mourir,
ils demandent aussi de l’argent. Pour rire et pleurer
également. Dans certains endroits, s’ils arrivent à faire
couler plus de larmes, ils demanderont davantage, il ne
reste plus qu’à compter les larmes. Ils profitent des
sentiments de l’être humain pour s’enrichir. Ils demandent
aussi de l’argent pour leurs natures et leurs civilisations.
L’argent éloigne les maladies, les malheurs, les soucis, les
tristesses, les chagrins, la
désolation et donne de la puissance.
L’argent aide à la croissance morale, la pensée et au
développement physique.
L’argent est dieu.
Qui est capable de s’en passer ? Et comment peut-on s’en
passer ? Dans ce monde, l’argent dans la main de n’importe
qui, ne connaît ni dieu, ni ses serviteurs. C’est parce
qu’il est lui même
dieu, puissant et capable de tout
et miséricordieux. Pour l’avoir, tout le monde
s’active de façon dure, que cela soit d’une manière juste ou
injuste, légale
ou illégale. Dans ce monde de
l’ESTESMAR tous les êtres humains sur Terre, qu’ils
soient petits ou grands, forts ou faibles, femmes, hommes ou
enfants, ils sont tous esclaves de l’argent, on peut dire
esclaves des riches ou mieux de l’ESTESMAR. Et celui qui a
le plus d’argent décide et a plus de possibilité et
d’avantage. De toute façon si vous ne voulez pas que les
malheurs tombe sur vous, il faut que vous vous
battiez pour l’argent, c’est à dire dieu. Même les
communistes anti-exploitation ne peuvent pas s’en passer.
Même si les êtres humains le détestent. Si vous n’aimez pas
ce dieu et si vous vous en éloignez, les malheurs s’abattent
sur vous, il est comme l’épée de Damoclès sur chaque
individu. Le jour où vous n’avez pas d’argent, pas de
confort et rien d’autre, vous vous sentez faible,
malheureux, seul et marginal, alors les peurs et les
horreurs s’infiltrent et s’abattent sur vous. L’argent
change les êtres humains, moralement et physiquement.
C’est ainsi que dieu change les hommes.
Les exploiteurs, les commerçants, les Etats et les
administrations sont dans cette idée à chaque instant :
comment peuvent-ils soutirer de l’argent aux peuples ou aux
esclaves ?
Les êtres humains font n’importe quoi pour l’argent et y
sont obligés. C’est ainsi que l’ESTESMAR a écrasé, cassé et
détruit la personnalité humaine.
Ceux qui n’ont pas d’argent n’ont rien. Ils n’ont même pas
le droit de vivre, alors la nourriture, la maison, la
relation sexuelle (le droit inné), il faut les payer. On
peut dire facilement qu’ils ne servent qu’à être enterrés,
qu’ils sont nés pour rien, qu’ils se sont trompés de chemin.
Les exploiteurs ont pollué l’air, l’eau potable, la mer, les
forêts, le ciel et la Terre, ils les ont détruits et
si vous en voulez des sains, il faut payer. De plus
ils disent que ce ne sont pas eux qui ont pollué, ils
accusent les pauvres et les exploités, ou les travailleurs
africains, sud américains, asiatiques.
Les exploiteurs ont fait leurs propriétés grâce à toutes les
mines de la Terre et de la mer, de l’air et même en dehors
de la Terre et
des autres planètes, par force ou de manière, dites, douce
ou avec les
mensonges et tromperie ou en tuant soudainement les êtres
humains ou les peuples ou en les torturant, et le font
toujours, puis
ils passent des lois et des articles et les légalisent. En
réalité ils volent la nature et la vendent et l’achètent.
Les êtres humains sont les esclaves d’un Empire invisible
qui est l’ESTESMAR ou l’argent, la propriété et l’échange.
Dans la société d’exploitation n’importe quoi est
marchandise. Les êtres humains sont des marchandises. Comme
vous le savez avec les marchandises on peut faire n’importe
quoi. Avec l’argent, qui est lui même marchandise, on peut
tout acheter et les posséder.
Avec l’argent on peut acheter la liberté, qui sans ce
système (les relations) pourri est impossible. On achète la
sécurité, la guerre et la paix, la joie, le malheur et la
sincérité, la respiration, les tueurs et les assassins, le
droit d’être en vie. On achète les femmes, les hommes, les
enfants, les cerveaux, les membres des enfants ou les
enfants à peine nés, la mère qui attend un bébé, la
souffrance et la torture, la beauté, les traîtres et les
espions. Comme vous le savez, ceux qui ont de l’argent
vivent mieux, dans la propreté, la beauté et la bonne santé.
Qu’est ce qu’on ne peut pas acheter ? Même le « rien »
se vend et
s’achète. Bien sûr, dans une société, le fait qu’un
« rien » devienne une chose ou une marchandise, permet de la
vendre et de l’acheter. Bien entendu, ce sont les riches qui
donnent la vie à « rien » et non pas les affamés. Dans la
société d’exploitation ou d’ESTESMAR n’importe quoi,
matériel ou immatériel, physique ou moral, éthique ou
personnalité, a une valeur marchande, on le vend et on
l’achète dans les marchés.
Dans la société d’exploitation, les êtres humains se
rassemblent et viennent, là où il y a l’argent, là où on
peut en trouver et surtout par n’importe quel moyen.
D’autant que les produits sont nombreux, avec beaucoup de
choix. C’est pour cela que tout le monde va vers les villes,
voire les plus grandes.
L’argent, la propriété, et l’échange créent les classes
sociales. Le gouvernement, c’est à dire l’ensemble de l’Etat
(qui est constitué de trois forces : législatif, exécutif et
juridictionnel), les administrations, les armées (de terre,
l’air et de mer), les organes de sécurité et les forces de
l’ordre, les gardiens, les espions, les informateurs, les
prisons, les systèmes juridiques (avocats, juges…), les
voleurs, les traîtres, les prostitués, les travailleurs, les
chômeurs, les drogués, les mendiants, les villes ( où se
trouvent les plus grands marchés ou bazars), sont tous liés
et on ne peut
les séparés, c’est eux mêmes qui créent les contradictions
(et les contradictions à l’intérieur des contradictions) de
la société humaine.
Quand on parle de croissance et de développement d’ESTESMAR,
on parle des différents moyens pour trouver de l’argent, la
propriété et l’échange, de nouveaux marchés et
marchandises, de garder le système d’ESTESMAR et de
l’étendre partout, même dans l’inexistence, par exemple des
choses qui n’étaient pas déjà une ou des marchandises,
d’autant que n’importe quoi tôt ou tard, doit être ou doit
devenir marchandise. L’un des rôles de l’Etat, c’est de
trouver des marchandises (comme le chantage, les impôts, les
assurances, les guerres, les paix, les lois, les amendes…).
Les marchés ou bazars, là où on fait du commerce, où les
villes sont comme des forêts extrêmement sauvages qui
n’existent pas dans la nature mais uniquement dans la
société malade de l’homme. Les lois de marché sont chaudes
et dedans il y
a des mensonges, des guerres, des disputes, des bagarres,
des secrets, des cachotteries, des informateurs, des
escroqueries, des tromperies, des vols, des charlatans, des
tricheries, on prend les autres pour des imbéciles,
des irrespectueux, avec des déceptions, des promesses
non fondées, des abus de confiance, des écrasements de
personnalité, des humiliations, des hontes, des vexations,
des confusions, des mortifications qui les rendent
malheureux. Les marchés sans tous ces éléments n’ont pas de
sens et disparaîtraient. Ils sont tous des éléments
d’ESTESMAR et cela doit
être ainsi.
Le commerce, le bazar ou le marché sont gourmands et
capricieux, sauvages, sanguinaires et sanglants, sangsues ou
vampires. Le ou les marchés ne sont pas sans guerre. La
guerre entre les concurrents, pour gagner davantage et mieux
vendre, les
plus grands mangeant les plus petits, parfois les grands
font apparaître des petits pour les absorber après. La
guerre est cachée dans l’échange, les grands font les lois.
Les marchés boivent le sang des travailleurs. L’Etat et les
administrations qui font aussi du commerce, boivent
également le sang des travailleurs au nom des impôts, des
assurances, de la loterie et des actions humanitaires…
Les hommes dans la ville se vendent mieux, plus facilement
et trouvent de l’argent pour leurs besoins innés.
Les prix sont les quantités d’argent pour des marchandises.
Ils sont précisés par les exploiteurs.
Seul dieu (l’argent)
peut exaucer vos vœux.
La bureaucratie (ensemble de mouvements pour gérer et
diriger l’argent, la propriété, l’échange et ses branches,
c’est à dire l’Etat et les administrations dites privées et
gouvernementales) sont très liés à ESTESMAR. C’est l’une de
ses caractéristiques. Toutes les sociétés ou entreprises,
petites ou grandes, privées ou sociales, gouvernementales ou
non, même toutes les organisations hiérarchiques l’utilisent
et ne peuvent
s’en passer.
Là où il y a de l’argent, il y a plus de propreté,
plus de possibilité, de tranquillité, de liberté,
de sécurité.
Les ressources naturelles et humaines sont limitées. Voler
la nature pour
vendre et acheter ne peut pas durer longtemps, et aboutit à
la disparition de l’homme.
Quand il y a l’ESTESMAR (l’argent, la propriété, l’échange),
il y a le gouvernement (l’Etat, les systèmes juridiques, les
organes de sécurité, de l’ordre, de la défense
et de l’information et les autres organes d’Etat,
légaux ou illégaux). Le meilleur gouvernement pour
l’ESTESMAR, c’est un système libéral (donner la possibilité
de le développer et de le faire croître par n’importe quel
moyen et sans pitié) ou un système dictatorial dur. La
guerre donne vie à ESTESMAR. La guerre est la base d’échange
et de concurrence. L’ESTESMAR n’accepte aucune barrière. La
paix aussi donne la possibilité de développement et de
croissance, comme dans les désordres et les ordres.
Toutes les formes de trafics (influence causée par l’argent,
la propriété et l’échange) sont liées à l’ESTESMAR. Les
trafics ne disparaissent pas tant qu’il y a l’ESTESMAR. Ils
sont les visages de l’ESTESMAR. Les êtres humains se
rassemblent, ils sont attirés là où il y a de l’argent et
où tout est possible. Les villes ne sont pas apparues
essentiellement pour vivre, mais pour les commerces, c’est à
dire l’échange, l’argent, la propriété, qui résolvent tout,
même le droit inné. Les plus grands bazars sont les
villes. Les corps de l’ESTESMAR sont les villes, et les
routes sont ses tentacules. Là où il y a de l’argent, on
construit tout, et là où il n’y a pas d’argent on ne fait
rien, de plus cela se dégrade davantage et se transforme en
bidonvilles… En d’autre terme cela devient
des poubelles. Maintenant avec les poubelles on gagne
aussi de l’argent. Les riches et les Etats ont compris
qu’avec les malheurs on peut gagner pas mal d’argent. Les
métaphysiques connaissaient depuis longtemps la charité. Les
riches et l’Etat disent (directement ou indirectement) que
les pauvres sont nés pour rien et de plus ils sont sales,
ils n’ont pas d’argent et ne servent à rien, d’une façon ou
d’une autre, il faut les renvoyer et les éliminer, on
dépense trop d’argent pour leurs gestions,
et de plus ils salissent les villes et la démocratie,
mais les plus parasites des parasites sont des riches qui
ont plus que leur droit inné.
Dans les marchés, dans les échanges entre les concurrents,
les vendeurs et les acheteurs, existe
la guerre dite « froide » et dans certains cas
sanglante. La cause essentielle de toutes les guerres est la
concurrence, qu’elle soit petite ou grande, entre les
exploiteurs, les industriels, les compagnies, les mafias,
les Etats ou les métaphysiques. Chaque exploiteur veut
acheter ou trouver moins cher, même gratuitement, ou
carrément voler par escroquerie, par la guerre ou la menace
et vendre
le plus cher possible et d’en avoir le monopole. Chacun veut
gagner plus que les autres et s’enrichir plus qu’eux pour
être dominant et empêcher d’être dominé. Ils sont toujours
dans des situations de vengeance.
Par quels moyens
peuvent-ils les éliminer ou les absorber ? Ils
cachent leur secret et créent des organismes de sécurité, de
surveillance, de mercenaires, gardiens, espions et cetera.
Pas simplement les exploiteurs mais aussi les exploités. Pas
simplement entre eux mais aussi entre les exploités et les
exploiteurs. Malin dans l’ESTESMAR, est celui qui gagne de
plus en plus d’argent et qui a la capacité et la possibilité
de le dépenser. L’amitié est une marchandise, ou devient
marchandise, ce n’est pas pour rien que l’individualisme a
plus la côte que le fait d’être ensemble et solidaire. Malin
n’est pas celui qui a la connaissance scientifique, puisque
avec l’argent il peut l’acheter et il peut la vendre.
L’argent est tabou, c’est dangereux d’en parler. Il ne faut
pas parler de Dieu, sinon cela va vous attirer les malheurs.
L’argent est aussi le diable quand ceux-ci vous arrivent.
L’argent devient maudit et diabolique si vous le prenez à la
légère. De la même façon qu’il vous donne la puissance,
il vous la reprend et vous jette au fond du trou.
Alors il faut le respect pour
dieu. De toute façon vous (les riches et les
pauvres), êtes maudits par
dieu. Parce que
cette maladie nous détruira tous et sans exception.
Attention, l’ESTESMAR a des armes nucléaires,
bactériologiques, chimiques, à neutron, virus et napalm …,
qui sont capables
d’anéantir toute
vie animale et végétale y compris les êtres humains
sur Terre. Il n’y a aucun dieu qui soit capable d’une telle
puissance, comme celle qui a détruit les femmes, les hommes,
les animaux, les végétaux et leurs histoires (Hiroshima,
Nagasaki, Viêt-nam, Bikini, Irak, Yougoslavie, Somalie et
cetera). Rien que dans la dite deuxième guerre mondiale, ils
ont assassiné cinquante millions de femmes, d’hommes et
d’enfants, d’animaux, de plantes et toute trace de nos
histoires et cetera…
Il faut répéter que l’argent, la propriété et l’échange ne
fonctionnent pas sans forces ni puissances. Il faut toujours
quelque chose qui les protége, et leur donne de
l’assurance. Ce qui est le rôle du gouvernement.
L’ESTESMAR sans pression, force et contribution ne peut pas
fonctionner. L’ESTESMAR sans bureaucratie, sans
fonctionnaires, sans
matraques (les forces de l’ordre, de sécurité et de
défense) et sans l’ensemble des éléments qui imposent ce
système ne peut pas fonctionner normalement.
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