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DROIT INNE
Le droit inné est un ensemble de droits et besoins naturels.
Sans ce droit
l’organisme vivant n’existerait pas que ce soit sur une
courte ou longue période.
Le droit inné fonctionne de manière
automatique et en dehors de la volonté humaine et
l’évaluation par l’argent et la propriété n’est pas
compréhensive.
Ici, le droit n’est pas le droit juridique ni celui que l’on
peut donner ou prendre. Ce n’est pas le droit qui sort du
cerveau humain, on ne peut fabriquer des droits, créer des
lois ou des règles, des articles pour lui .Ce n’est pas non
plus le droit qu’on peut défendre, refuser, condamner,
priver, vendre ou acheter.
Le droit ici, c’est l’existence d’un organisme vivant.
L’inné ici, ce sont les règles et lois et données qui
fonctionnent
automatiquement hors de la pensée humaine. C’est la
dialectique de la nature. Le droit inné, c’est l’organisme
lui même. Un organisme vient au monde avec et pour ce droit
inné et cela jusqu'à la fin de sa vie et sans cela il n’y a
pas d’existence. En d’autre terme, c’est le droit inné qui
décide pour l’organisme et non pas l’inverse, simplement
l’organisme agit par droit inné. Pour l’existence, l’homme
est un ensemble de cellules qui ont des
relations précises entre elles et à chaque moment les
cellules meurent, certaines
ont une vie plus longues, et d’autres cellules
naissent.
Le droit inné comprend :
-Les nourritures : l’eau, les végétaux, les animaux et l’air.
-Déjection : le corps rejette les éléments qu’il n’utilise
pas.
-Le sommeil et le repos.
-Le jeu : ce sont des mouvements physiques et moraux
pour la croissance, le développement et pour la
connaissance.
-La propreté.
-Avoir de l’espace, du travail, la santé, l’amour et surtout
faire l’amour.
-Chaque organisme vivant se trompe et a le droit à l’erreur.
-Chaque organisme vivant est indépendant et a le droit à
l’indépendance.
-Chaque organisme vivant a besoin d’un environnement adapté.
-Chaque organisme vivant a le droit à la diversité.
-Tous les organismes vivant sur terre dépendent directement
ou indirectement les un des autres et ils existent entre eux
une relation dialectique.
-Chaque organisme vivant atteint la connaissance et a droit à
la connaissance.
-Chaque organisme vivant a droit à la terre : c’est-à-dire
qu’il a le droit d’aller et de vivre n’importe où sur
Terre.
Chaque organe ou organisme restant immobile ne vit pas assez
longtemps et meurt. Si l’on n’utilise pas un membre du
corps, celui-ci s’affaiblit puis tombe malade cela se
propage aux autres membres, et enfin il meurt.
Chaque organisme vivant
peut manger, boire, respirer, éjecter, faire l’amour…
plus ou moins suivant ce que son organisme lui demande.
L’organisme fonctionne de manière dialectique. Toutes les
exagérations de la dialectique du corps posent des problèmes
aux organes, puis à l’organisme.
L’homme est le seul animal qui a atteint
la connaissance
scientifique. D’ailleurs c’est la seule différence
entre l’homme et les autres animaux, c’est surtout sa
physionomie qui est adaptée à cette connaissance.
Comme certains groupes d’animaux, l’homme est sociable et il
ne peut subsister longtemps sans la société.
L ‘homme comme certains animaux a la parole, ainsi que les
sens du toucher, de l’odorat, de l’ouïe, du goût et de la
vue pour ses droits innées.
Chaque organisme s’adapte à son environnement, que celui-ci
soit naturel ou social : c’est-à-dire que l’homme
s’harmonise avec les conditions de sa situation naturelle et
sociale.
Chaque organisme vivant a un genre –mâle ou femelle – qui
est pour certain ensemble et pour d’autre séparé.
Chaque organisme change, par rapport à la nourriture, à
l’air, à l’espace, au temps (tous les éléments de droit
inné). L’homme change lui aussi, que cela soit sur le plan
physique ou moral, pour certains forts et d’autres
faibles. Ces changements se produisent
automatiquement.
Chaque être humain transpire, c’est une réaction biologique
et automatique.
Il existe une relation dialectique, non seulement entre
toutes les cellules du corps humain, mais aussi entre tous
les éléments de droit inné, et s’il y a un problème dans un
élément cela agit sur tous les autres éléments, par exemple
il y a une relation dialectique entre la nourriture et les
déjections, entre la nourriture et l’amour et cetera…
Une bonne nourriture, adaptée et en quantité suffisante,
Une bonne relation sexuelle, adaptée et en quantité
suffisante
Un bon repos adapté et en quantité suffisante,
Une bonne déjection, adaptée et suffisante, et cetera… de
façon dialectique, sont très importantes pour la santé
humain.
Chaque organisme vivant
croît, se développe, se sépare et se décompose :
c’est-à-dire qu’il mute et évolue, ce sont les éléments de
droit inné.
Chez les êtres humains et les animaux, comme lui, le mâle et
la femelle sont séparés et l’un ne peut exister sans
l’autre. Le mâle est un mâle parce qu’il y a la femelle, et
la femelle est une femelle parce qu’il y a le mâle.
Chez l’homme, les genres sexuels de mâles et de femelles
sont séparés biologiquement et physiquement par la nature et
chacun avec ses caractéristiques précises. L’homme et la
femme ne sont pas simplement ensemble, car ils s’unissent,
c’est-à-dire qu’ils ont besoin l’un de l’autre, il y a une
solidarité entre eux ainsi que pour l’existence humaine.
L’homme et la femme sont des polarités qui utilisent les
règles, lois et données de la polarité
philosophique. Ils ne sont pas des contraires, malgré
toute l’indépendance qu’ils possèdent l’un et l’autre. L’un
sans l’autre est
incompréhensible pour la nature, c’est-à-dire que
cela n’a pas de sens. L’homme et la femme, ou mâle et
femelle, avec toutes leurs dépendances et indépendances et
différences, sont unis et ils forment la polarité.
Cette polarité est nécessaire pour l’existence de cet
organisme, ils
ont besoin de faire l’amour. Aucun phénomène quel qu’il
soit, ne peut
l’empêcher ou faire barrage, fabriquer des lois ou le
mutiler. Il a ses propres règles, lois et données.
Comme l’eau, l’air et la nourriture, la relation sexuelle
est vitale et elle aide au développement et à la croissance
humaine, ainsi qu’à la liberté et à la joie.
Il faut préciser que la diversité dans la relation sexuelle
aide au développement et à la croissance humaine
(physiquement ou moralement), c’est parce que les êtres
humains sont différents. La dépendance d’un homme par
rapport à une femme ou d’une femme par rapport à un homme
empêche cette croissance et ce développement
La diversité en amour est importante, essentielle et
quelquefois vitale.
L’homme est l’un des rares animaux qui fait l’amour en
dehors de sa période de fécondité, car son système
biologique est constitué ainsi.
Certains animaux ne font qu’une fois l’amour pour
préserver leur descendance, le mâle et la femelle sont
adaptés à cette mesure. Mais l’homme, comme certains
animaux, est différent. Le mâle et la femelle humaine
doivent faire l’amour plusieurs fois, jusqu’à ce que la
descendance soit assurée, mais ils font l’amour aussi en
dehors de leur période de fécondité.
Il est certain que pour en savoir davantage il faudrait
consulter la science biologie. Ce phénomène, faire souvent
l’amour, est un phénomène biologique. Le besoin sexuel de
chaque individu dépend du besoin biologique de son corps,
qui varie lui aussi d’un corps à l’autre. Il ne connaît
aucune lois et règles, il a ses propres règles, lois et
données. L’organe sexuel de l’homme est l’un des organes le
mieux développé, complet et fonctionne selon ses propres
règles, lois et données.
Le temps et l’espace, l’eau et l’air, le repos et le
sommeil, la santé et la nourriture, la propreté et
l’environnement adapté, la relation sexuel, le travail et le
jeu sont des éléments pour l’acquisition desquels l’homme
utilise ses sens. L’homme existe pour ces droits innés, et
ce sont les réactions physiques et biologiques du corps
humain qui créent la joie, la liberté, la tranquillité et le
bien-être.
Le cerveau de l’homme fonctionne automatiquement et il
n’accepte aucune loi sauf ses propres règles et lois. Le
cerveau humain est soumis à la réaction du système
biologique du corps humain et aussi à l’environnement, qu’il
soit naturel ou social.
La liberté de penser et le choix sont des éléments résultant
de la réaction du cerveau par rapport aux données naturelles
internes ou externes, et fonctionne automatiquement.
La liberté ici signifie que l’homme avec celle-ci arrive à
satisfaire ses besoins naturels.
La liberté d’expression, la liberté de regard, de choix, de
penser, d’écoute, de curiosité, de connaissance, de toucher
et de sentir et aimer sont liées au droit inné et font même
partie de ce droit inné. On ne peut pas fermer les yeux, ni
les oreilles, ni le nez, ni empêcher la pensée, ni la langue
et ni le toucher, ou les limiter, les interdire, les
enchaîner et cetera .Ceux-ci fonctionnent hors de la volonté
humain.
La curiosité est aussi un élément de droit inné. Elle est la
connaissance et donne plus de connaissance.
L’homme, avec toutes ses dépendances à autrui, a fortement
besoin d’indépendance. L’indépendance et dépendance est une
polarité, aide et agisse sur le développement et la
croissance de l’individu et de la société. Indépendance et
dépendance font parti du droit inné et fonctionne de façon
dialectique. La dépendance et l’indépendance de décision, de
choix, de pensée, d ‘action, de parole et de conviction sont
impossible sans la réalisation du droit inné.
L’homme malgré toutes ses ressemblances avec autrui, est
différent. La diversité humaine, dans la couleur, l’odeur ,
les formes , les choix , les pensées et les besoins naturels
, dans la production , le travail ,
la nourriture , la relation sexuelle ,l’amour et
cetera est l’un des éléments de croissance et de
développement humain,
joue un rôle très important . Les hommes n’ont pas
besoin d’être simplement différent, mais ils doivent aussi
être différents dans tous les domaines, sans quoi il n’y a
ni croissance ni développement. Les hommes sont différents
par rapport à l’espace, temps, c’est-à-dire que les diverses
situations dans l’espace, temps, la biologie et les rapports
sociaux, sont différentes.
La diversité a besoin de la liberté.
L’homme, en dépit de tous ses développements, fait des
erreurs. L’erreur fait parti du droit inné. C’est-à-dire
qu’elle est intrinsèque à l’être humain, et qu’elle
fonctionne en dehors de la volonté humaine.
L’homme, malgré tous ses développements, ses possibilités,
ses capacités, est limité : les yeux ainsi que le toucher,
l’odorat, la pensée, les oreilles, l’équilibre et la société
font des erreurs.
Chaque membre de l’être humain est limité et aussi
incomplet.
Malgré toute sa force, l’homme est très faible, ainsi que la
société. Il n’y a rien chez l’homme qui soit absolu, l’homme
est un élément historique, c’est-à-dire qu’il connaît le
temps et l’espace. Il est sûr que
dans son cerveau, l’homme peut être absolu, l’homme
peut imaginer n’importe quoi mais cela ne veut pas dire que
ses créations pourraient exister dans la réalité, en dehors
du cerveau humain.
L’erreur humaine a une relation inverse avec la
connaissance. Chaque fois que la connaissance humaine de la
réalité en dehors du cerveau humain augmente, celui-ci fait
de moins en moins d’erreurs, et réciproquement, si nos
connaissances sont faibles et diminuent, nous faisons de
plus en plus d’erreurs.
Mais se serait une erreur de penser que l’on peut supprimer
complètement les erreurs. L’erreur est un élément de
croissance et de développement. L’histoire a prouvé que
l’homme est arrivé à ce stade de développement grâce aussi
aux erreurs. L’erreur n’est pas la perte. Il est un élément
intérieur à l’homme, et la perte vu de l’extérieur et un
élément de la société. La perte et le gain sont des données
philosophiques, par contre l’erreur est un droit inné. La
perte est également
un élément de croissance et de développement.
On peut supprimer certaines erreurs en utilisant la
connaissance scientifique comme barrière, plus on a de
connaissances, plus on fait attention et moins on fait
d’erreurs, mais on ne peut pas les éliminer complètement. Et
puis personne ne peut pas avoir toute la connaissance
scientifique.
Le manque ou l’absence de droit inné ou d’un de ses éléments
durant une période courte ou longue détruit l’homme.
L’homme seul ne peut pas produire et ne peut pas satisfaire
ses besoins matériels et immatériels (moraux). Pour ses
besoins innés l’homme a besoins de l’autre.
Sans son pôle, l’homme ne peut pas exister, que cela soit le
mâle ou la femelle, parce que l’un dépend de l’autre. Nul ne
peut et n’a pu,
ne pourra interdire ou empêcher un élément de droit inné,
l’enlever, le détruire, ou lui donner des valeurs
(l’argent), ou introduire des lois, l’enfermer, l’enchaîner,
le mettre en prison, l’entourer de barbelés, lui faire
admettre une dépendance, lui fermer les yeux, les oreilles,
le nez ou la bouche.
On ne peut pas enchaîner ou empêcher la connaissance, la
limiter, la mettre en prison, l’étouffer, l’entourer de
barbelés, le pendre, la bombarder, l’attacher à une
dépendance comme l’argent ou le soumettre à des lois .
Chaque élément de droit inné est en dehors de la volonté
humaine qu’on le veuille ou non.
Le droit inné fonctionne de manière automatique,
parce que l’organisme vient au monde pour cela et
sans cela il n’y a pas d’existence.
Ni la société, ni l’homme individuellement ne sont pas
capable de le limiter ni de le détruire. Ceux qui pensent
que l’on peut le limiter ou lui faire barrage sans
conséquence se trompe. Ils l’ont fait des milliers de fois
au cours de l’histoire et le font toujours, ils
n’ont jamais réussi et ne réussiront jamais. Parce
qu’il a ses propres règles, lois et données.
Donc le droit inné constitue :
Nourriture, déjection, santé, sommeil, propreté, faire
l’amour, travail (ensemble des mouvements ou activités pour
satisfaire le droit inné), connaissance scientifique,
mutation et évolution, environnement adapté, diversité,
dépendance et indépendance, différence, liberté (ensemble
des actions pour satisfaire le droit
Inné), penser, voir ou regarder, écouter, toucher, goûter,
sentir, marcher, aimer,
détester, pleurer, rire, vivre, mourir, parler,
respirer, manger, boire, dormir, coucher ou allonger,
s’asseoir, faire des activités sportives, respecter
le choix de l’autre .
Chaque organisme vivant mute et évolue. On ne peut pas
l’empêcher, ni barrer ou l’interdire
et cetera.
Mutation et évolution ont deux caractéristiques :
-
Croissance et Développement
-
Séparation et Décomposition
Ce sont des données philosophiques, nul ne peut les toucher
ni les changer.
Le droit inné n’est pas le droit qui vient du cerveau
humain, mais c’est la réalité en dehors de l’imagination
humaine, qui fonctionne automatiquement en dehors du cerveau
humain, et il a ses propres règles, lois et données.
Il faut préciser que :
-Les yeux sont faits pour voir.
-Les oreilles sont faites pour entendre.
-La langue et la bouche sont faites pour parler.
-Le nez est fait pour sentir.
-Le cerveau pour penser, réfléchir, avoir
des idées et des opinions.
-Le toucher est fait pour sentir.
-Les sexes de l’homme et de la femme sont faits pour faire
l’amour.
-L’anus est fait pour la déjection.
Chaque élément du corps humain est adapté à quelque chose.
Personne n’a le droit de créer des lois ou des articles pour
lui, de
l’empêcher, de le limiter, de le soumettre à une dépendance,
de le mettre en prison, de l’entourer de barbelés, de lui
construire des murs et de l’encercler par la police ( dit
gardien de la paix ) l’armée , les contrôleurs, les juges ou
les avocats ou par des organes administratifs et
métaphysiques et l’Etat, ou de le soumettre à l’argent ou à
des valeurs ou de le tuer .
Ces membres sont dévoués au droit inné. Toutes les barrières
dites règles, lois, tradition ou culture, par des
exploiteurs et exploités, les métaphysiques ou les
gouvernements, sont incompréhensibles.
Il faut ajouter que manger beaucoup ou ne pas manger pendant
une période continu, sont des maladies. En réalité, une
préoccupation extrême pour n’importe quel élément de droit
inné pendant une période assez longue
est une maladie. Ce n’est pas pour rien que l’on dit
que le droit inné a des règles, lois et données
dialectiques. On dit que ces comportements sont des maladies
parce qu’ils barrent ou empêchent le développement et la
croissance (historique, logique) humaine, et à court ou à
long terme, il
disparaîtra.
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