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MANIFESTE DU COMMUNISME
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MANIFESTE DU PARTI COMMUNISTE
Le manifeste du communisme, ce ne sont que des règles, lois
et données de la nature, bien entendu, et ce n’est pas le
manifeste du parti communiste. Pour connaître le dernier il
faut bien sûr consulter ce manifeste. Celui-ci est basé sur
la lutte des classes, entre les exploités et les exploiteurs
ou entre les opprimés et les oppresseurs.
Le manifeste du
parti communiste a été écrit par Karl Marx et Friedrich
Engels et pratiqué par tous les mouvements communistes et
bien sûr Lénine. Ils (les communistes) considèrent
l’exploité et l’exploiteur ou l’opprimé et l’oppresseur
comme des contraires, et avec leur façon de voir les
contraires, Les mouvements communistes, Marx, Engels et
Lénine n’avaient pas l’idée de séparer les contraires avec
les polarités. Toutes les données des polarités étaient
considérées comme des contraires. Par contre ce manifeste de
communisme sépare ces deux données. Les communistes voyaient
des polarités seulement dans quelques phénomènes physiques
et chimiques, mais ils n’imaginent pas que les polarités
existent dans tous les phénomènes ou éléments. La polarité
est une donnée absolue, c’est à dire qu’elle ne connaît ni
temps et ni espace. Il n’y a pas de phénomène sans les
polarités. L’existence de chaque phénomène ou élément dépend
de ses polarités. Elles sont les moteurs de l’existence.
Chaque polarité a son propre phénomène. L’existence
elle-même existe grâce à l’existence de la polarité. Et puis
les polarités ne sont pas des contraires tels qu’on les a
expliqués dans la science (ce manifeste). Ils sont des
éléments différents et constituent la base des mouvements de
tous les phénomènes, l’existence et l’inexistence, c’est à
dire à la fois le concret et l’abstrait.
Ce n’est pas pour rien que Marx et Engels et les mouvements
communistes considéraient l’exploité et l’exploiteur,
l’opprimé et l’oppresseur, pauvre et riche ou nord et sud
(dans les phénomènes sociaux) comme des données contraires.
Ils croyaient qu’il y avait une guerre sanglante et féroce
entre les exploités et les exploiteurs, les riches et les
pauvres et autre. La pensée des mouvements communistes est
basée sur cette donnée, la lutte des classes. Les partis
communistes sont les partis des exploités ou des affamés
(normalement, comme le disent les dirigeants communistes,
Marx, Engels et Lénine) contre les exploiteurs ou les
oppresseurs. Les mouvements communistes voient la lutte des
classes entre les exploités et les exploiteurs ou les
opprimés et les oppresseurs. Par contre le manifeste de
communisme précise que ce phénomène est une donnée de
polarité. C’est à dire qu’il n’y a pas d’exploité sans
exploiteur, d’opprimé sans oppresseur et vice versa. Cette
polarité dépend de leur phénomène qui est l’ESTESMAR et il
n’y a pas de « contraire » ou guerre entre les éléments de
cette polarité. S’il y a des riches c’est parce qu’il y a
des pauvres et vice versa. C'est-à-dire que si on détruit
l’élément riche, les riches réapparaissent par les pauvres
et si on détruit les pauvres, ils réapparaîtront par les
riches. Ce qui crée les riches et les pauvres ou les
exploiteurs et les exploités c’est l’ESTESMAR, c’est à dire
l’argent, la propriété et l’échange. Si on détruit
l’ESTESMAR, alors dans ce cas, il n’y aura ni riche ni
pauvre. Les mouvements communistes pensaient que les riches
ont le pouvoir pour avoir la ou les dominations féroces
(dictateur, capitaliste, riche, bourgeois ou exploiteur).
Ils oppriment les exploités et même les autres exploiteurs
par des tas d’administrations, visibles et invisibles et des
forces, des défenses, des sécurités, des ordres, des lois,
des contrôles, des gardes, des surveillants et des tas de
formes d’armes, d’argent et de possibilités ainsi que
l’information et l’informatique, les mensonges, les
métaphysiques, les murs et les barbelés visibles et
invisibles et cetera, et cetera. Alors en face de telles
puissances et capacités qui peuvent décider de la vie et la
mort, de l’existence et l’inexistence, sont les prolétaires
ou les travailleurs (les exploités, les opprimés, les
pauvres ou les affamés). Donc eux aussi (les exploités, les
opprimés… en plus ils constituent la majorité presque
absolue) doivent avoir une force équivalente qui puisse se
dresser devant ce colossal dictateur que sont les
exploiteurs ou impérialistes (empereur des multinationales
industrielles). Cette force est la dictature prolétarienne.
Ce terme n’est pas utilisé contre les populations comme le
prétendent les riches mais contre la dictature des
exploiteurs, des oppresseurs, des bourgeois, des riches, des
aisés et des industriels. Ce qui est important dans les
mouvements communistes, c’est que les savants voulaient
résoudre les problèmes de la société par des analyses ou des
règles et lois et données scientifiques. La première fois
dans l’histoire de l’humanité où la science (la connaissance
scientifique) a tenté de résoudre les problèmes de la
société et de la changer, c’était dans la commune de Paris,
par Marx et Engels. Ce qui n’a jamais été possible. Et la
deuxième fois par Lénine en Union
Soviétique qui a prouvé qu’elle est capable et
puissante et qu’elle a une force colossale.
Il faut préciser que sans les mouvements communistes et bien
entendu Marx, Engels, Lénine et aussi Staline (il a prolongé
l’existence des « dits » Etats communistes) ce manifeste de
communisme aurait eu du mal à sortir. La dialectique de la
nature et de l’histoire a facilité la recherche et la
découverte des règles, lois et données de la nature ou de la
science, que ce manifeste de communisme présente. Les
mouvements communistes ou dits révolutionnaires n’ont pas
été une révolution pour les communistes
ou pour un groupe social, mais c’étaient les
révolutions scientifiques, bien sûr avec des erreurs de
règles, lois et données de la science. C’était la première
fois, dans l’histoire de l’humanité, que la science ou
plutôt la connaissance scientifique a montré qu’elle est
capable de résoudre les problèmes de la société et que le
monde fonctionne par des règles, lois et données
scientifiques ou dialectiques.
Les communistes disaient qu’on ne peut avoir ou créé les
sociétés sans classes, c’est à dire sans riches, ni pauvres
et ni affamés. C’est une injustice qu’une grande majorité,
n’ait rien ou presque, qui constitue la majorité des peuples
dans le monde (la Terre) et que de l’autre côté, une
minorité minuscule et ultra aisée, ait tout et domine sur
tout.
Les révolutions des communistes c’était la révolution
scientifique contrairement avant et après notre ère. Ce qui
n’était pas le cas pour tous les mouvements
révolutionnaires. La commune de Paris a duré plus d’un mois.
Et la révolution d’octobre (grâce à Lénine et aussi Staline,
que les riches n’aiment pas) a duré plus d’un demi siècle et
a bouleversé le monde entier. Il y a encore des Etats qui se
nomment communistes, et les riches ne les aiment pas trop.
Elle (la connaissance scientifique) n’a pas simplement
bouleversé le monde par des révolutions mais aussi
l’existence de l’homme et de toute la Terre entière, c’est à
dire les forêts, les animaux et les plantes c’est à dire
tous les êtres vivants.
La guerre entre les exploiteurs et les exploités n’est pas
la guerre des classes comme le prétendaient les mouvements
communistes, mais à la fois la guerre entre les concurrents
et la guerre entre le droit inné et l’ESTESMAR, qui existe
chez tous les êtres humains, à la fois sociale et
individuelle. Les exploiteurs voient chez les exploités ou
opprimés une forme de concurrence. Les exploités ou les
travailleurs se battent et manifestent pour plus d’argent,
de propriété et d’échange. Les exploités veulent devenir
riches et aisés et ne se battent jamais pour abolir les
classes des riches et les classes des pauvres, puisqu’ils
dépendent de ceux-ci. Alors ici ils ne sont que des
concurrents qui vendent leurs marchandises (les bras, les
jambes, les têtes, les sexes, les membres, les regards et
cetera et cetera), et aimeraient vendre plus cher pour
gagner davantage, comme ils le font toujours. Ils se battent
pour améliorer leur vie comme les riches.
Ils ne penseront jamais à détruire les riches et les
pauvres, ni l’argent, la propriété et ni l’échange. Ils
veulent avoir beaucoup de choses à eux, rien qu’à eux comme
les riches. Bien sûr le système (la relation) d’ESTESMAR
leur impose cela, avoir la maison, le jardin, les autres
propriétés et manger mieux que les autres. Alors et les
autres !!? D’être patron et propriétaire à lui tout seul.
Mais les exploités se battent également pour leurs droits
innés, qui sont bafoués et opprimés, alors là, ils ne sont
pas des concurrents. Ici il y a la guerre entre le droit
inné et l’ESTESMAR, entre la relation logique qui doit et
n’est pas avec la relation d’ESTESMAR. Tant qu’il n’y a pas
d’argent et de propriété il ne doit pas manger. L’ESTESMAR
impose ses conditions mais la nature ou la biologie n’en
accepte aucune sauf ses propres
règles, lois et données. Les riches ont leur droit
inné et plus, mais les pauvres n’ont rien ou presque, ni le
droit inné, ni rien du tout.
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