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LA SOCIETE
La société est un organisme vivant qui est constitué de
multicellulaires (un être humain ou un animal) qui ont une
relation précise entre eux. Cette relation est et doit se
baser sur le droit inné. Toutes les sociétés animales (les
animaux qui vivent en société), la relation entre les
individus sont basées sur leur droit inné. La société
humaine doit se baser aussi sur son droit inné, ce
qui n’est pas le cas, puisqu’elle est basée sur l’argent, la
propriété et l’échange (ESTESMAR).
La société c’est à dire la relation entre les
individus.
Sur terre, il y a trois catégories d’animaux :
1-
Les unicellulaires : comme les bactéries.
2-
Les multicellulaires : chaque cellule a une relation
dialectique avec les autres cellules,
leur relation étroite est basée sur le droit inné.
Comme les cellules du corps humain ou n’importe quel animal.
Les multicellulaires ont une forme. Et leurs cellules ne
sont pas séparées.
3-
La société : ce sont les multicellulaires (les individus)
qui ont une relation dialectique entre eux et qui n’ont pas
une forme précise, comme les animaux qui vivent en groupe
social, comme la société humaine ou les fourmis et cetera.
La société est la plus complexe des formes organiques et des
mouvements des matériaux.
La société est l’un des animaux qui a une longueur de vie
beaucoup plus longue que n’importe quel animal. Les
multicellulaires (comme des individus) ont une période de
vie plus longue que les unicellulaires.
La société dans sa mutation et évolution (croissance et
développement, séparation et décomposition) a des règles,
lois et données historiques et logiques.
La société est une donnée philosophique.
La société humaine est un organisme vivant, ou plutôt un
être vivant qui est constitué par des individus vivants, et
ces individus vivants ont une relation ou plutôt une
forme de relation vivante entre eux.
Dans la nature, chez les animaux vivants en société, la
relation entre les individus est basée sur leur droit inné.
Par contre dans la société humaine, la relation entre
les êtres humains qui devrait être basée sur leur droit
inné, l’est par l’ ESTESMAR, c’est à dire l’argent, la
propriété et l’échange.
Le droit inné est un élément de l’intérieur d’un organisme
vivant. C’est à dire sans droit inné un organisme vivant n’a
pas de sens. Pourtant dans la société humaine un élément
étranger (ESTESMAR) décide pour le droit inné, alors qu’en
réalité l’existence de l’être humain
est lui-même le droit inné. Dans tous les groupes
sociaux chez les animaux, la relation entre chaque individu
est sur leur droit inné. Ce qui devrait l’être également
pour l’homme. Celui-ci est un des animaux qui vit en
société, sans laquelle il ne vivra pas longtemps et
n’aura pas de sens.
Le rassemblement des individus ne constitue pas la société.
La société est constituée d’individus qui ont une relation
précise, celle-ci
doit être normalement basé sur leur droit inné.
L’addition dialectique des cellules constitue
l’homme. Et l’addition dialectique des hommes (êtres
humains) constitue la société.
La durée de vie d’une société est beaucoup plus longue que
les multicellulaires et unicellulaires.
La société est la
relation vivante entre les êtres vivants.
L’homme ou n’importe
quel organisme vivant s’adapte à leur environnement et
situation biologique, connaissance et
société. Cette adaptation ce fait automatiquement.
L’homme peut mettre des barrières mais ne peut pas l’éviter,
cette adaptation ne doit pas, non plus, empêcher le droit
inné.
La société a sa propre règle, loi, donnée et méthode. Mais
dans la société humaine elle est imposée et basée par
l’argent, la propriété et l’échange, c’est à dire
l’ESTESMAR.
Les règles, lois et données de la société fonctionnent de
manière automatique. Nul ne peut, n’a pas pu et ne pourra
lutter contre ses règles, ne peut pas non plus mettre des
barrières, de
les interdire, de ne pas leur donner d’importance, de fermer
les yeux, de ne pas entendre
et de se taire.
La société sans production ne peut pas vivre. La production
est sociable, que cela soit matériel ou immatériel.
La connaissance n’appartient pas à un individu, c’est un
phénomène social. L’individualisme de l’homme et son
humanisme n’est pas séparé de sa société. L’homme est un
produit social et
dépendant de la société. Une société est incapable
d’atteindre
toutes les possibilités et connaissances sauf si elle crée
d’autres sociétés. De plus sans les autres sociétés elle ne
peut pas toutes se les procurer. C’est parce que toutes les
possibilités, matérielles et immatérielles et l’ensemble des
connaissances scientifiques et artistiques ne se trouvent
pas dans une région, mais partout sur la Terre et avec
toutes les sociétés humaines.
Les sociétés humaines sont dépendantes les unes des autres
et vice- versa, la domination d’une société sur les autres
sociétés est une absurdité totale et ignorante. Cette pensée
entraîne les êtres humains tout droit à leur disparition.
Une société avec tout le confort et possibilité contre une
société pauvre
et malheureuse est inadmissible et tôt ou tard cela détruira
l’humanité.
Aucune société ne peut
s’enfermer sur lui-même et s’isoler des autres
sociétés.
Chaque organisme vivant tombe malade. La maladie empêche ou
crée une barrière dans le processus historique et logique de
l’organisme et l’entraîne jusqu'à la mort, dans une période
courte ou longue. La société qui est aussi un organisme
vivant, attrape également la maladie, sachons que
la société humaine est malade depuis longtemps.
La société a un processus historique et logique.
La société humaine à cause de cette maladie a transformé la
nature et continue d’en faire davantage tous les jours, par
conséquent les
êtres humains se transforment également.
Les êtres humains
doivent être capable de connaître les règles, lois et
données de la nature et de la société et peuvent les
utiliser pour leur existence sans transformer la nature.
Cette transformation causera la mort des multicellulaires et
surtout de l’homme. La domination et la soumission de la
nature pour la nature est incompréhensive.
L’homme peut utiliser les règles, lois et données de la
nature pour son existence et il ne peut pas les utiliser
contre ou en accord avec la nature. Ne pas considérer ou mal
utiliser ces lois, données et règles met l’humanité en
danger. L’existence est une série de règles, lois et données
et en dehors de cela l’existence n’a pas de sens.
L’homme peut tout imaginer, construire ou polémiquer ou
jouer avec des mots et des phrases mais pour l’existence, la
réalité est en dehors de son imagination ou de son cerveau.
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