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"Il
y a cent ans, le Parti communiste soviétique - sous le
couvert du bien commun - a confisqué des terres agricoles appartenant
aux Koulaks (classe paysanne propriétaire terrienne), ce qui a fini par
coûter des millions de vies et faire reculer l'économie de plusieurs
décennies.
Leurs héritiers idéologiques utilisent aujourd'hui des méthodes
similaires dictées par l'Agenda 2030 des Nations Unies qui - également
sous le couvert du bien commun - a été adopté en 2015 par les
193 États membres des Nations Unies
comme "un plan d'action conçu pour atteindre 17 objectifs de
développement durable". (ODD) d'ici 2030 »."
"La solution de l'Agenda pour le "changement climatique" est
le plan Net Zero pour réduire les "polluants atmosphériques" qui
désigne le carbone et l'azote comme les principaux coupables - malgré le
fait que le carbone est le
principal composant de la
vie sur terre, le CO2 étant un
nutriment de base
pour les plantes, tandis que l'azote est
essentiel à la croissance des plantes ."
"L'Agenda 2030 se compose de 17 objectifs de développement durable
(ODD), dont les objectifs déclarés sont la réalisation de "la paix, la
diplomatie et la coopération internationale… pour que le monde progresse
vers 2030 et au-delà", mais derrière ces nobles objectifs se cache une
idéologie communiste qui place intérêts collectifs au-dessus de
ceux de l'individu.
L'Agenda vise à contrôler tous les aspects de l'économie en monopolisant
la chaîne d'approvisionnement alimentaire et en modifiant la production
et la consommation de biens, comme l'a affirmé l'
année dernière le Sommet des Nations Unies sur les systèmes
alimentaires dont la
plate-forme était de
"débloquer l'innovation qui transformera et améliorera notre
alimentation mondiale". conformément au Programme 2030 et aux 17 ODD »,
et « en se concentrant sur le rôle des données et des écosystèmes
numériques, de la connaissance et de la technologie », qui comprend
l'introduction de quotas de
carbone pour « lutter
contre le changement climatique »."
"Selon Alex Newman, le concept d'utilisation de
la nourriture comme arme
est une caractéristique des régimes communistes depuis cent ans,
ainsi que "... une caractéristique des mêmes personnes qui promeuvent
ouvertement l'Agenda 2030 des Nations Unies, les objectifs de
développement durable , et même le
Forum économique mondial .
"L'auteur G. Edward Griffin dénonce également le plan caché d'Agenda : «
Le sale secret de l'agenda est qu'il s'agit du plan directeur de l'ONU
pour transformer le système politique et économique mondial en un
collectivisme totalitaire ; pour ce faire, les gens doivent compter sur
l'État pour tout, sinon ils peuvent difficilement être contrôlés. Cela
signifie l'abolition de la propriété privée pour que chacun puisse se
rassembler et se rassembler dans des villes où il pourra vivre dans les
appartements que l'État lui accordera. Personne ne devrait posséder des
terres ou une source d'eau, car ceux qui peuvent cultiver de la
nourriture constituent une menace pour une société collectiviste car ils
n'ont pas besoin de l'aide de l'État."
C’est l’ancien
officier de la CIA Robert David Steele qui faisait les recherches
sur les oligarques occultistes américains, un groupe qu’il appelait
MEGA. Lorsque Trump a déplacé l’ambassade américaine dans ce qu’on ne
peut légitimement appeler que la Palestine à Jérusalem occupée, en
violation de l’article IV de la Convention de Genève, c’est un paiement
de 100 000 000 $ d’un oligarque MEGA présumé, le patron du jeu Sheldon
Adelson, qui a provoqué cette décision. ----
"Dans une lettre distincte adressées
aux clients investisseurs
de Blackrock, Fink a présenté ce nouvel Agenda pour l‘investissement
capitalistique. Il a déclaré que Blackrock
quitterait certains investissements à forte teneur en carbone
tels que le charbon, qui demeure la plus grande source d’électricité
pour les États-Unis et de nombreux autres pays. Il a ajouté que
Blackrock scruterait dorénavant les nouveaux investissements dans le
pétrole, le gaz et le charbon afin de déterminer si ils adhéreraient à
la « soutenabilité » de l’Agenda 2030 des Nations unies. Fink a donc
clairement indiqué que le plus grand fonds du monde commencerait à
désinvestir dans le pétrole, le gaz et le charbon. « Au fil du temps »,
écrivait alors Fink, « les entreprises et
les gouvernements qui ne répondent pas aux parties prenantes et
ne traitent pas les risques de soutenabilité, rencontreront un
scepticisme croissant de la part des marchés et, par conséquent, un coût
du capital plus élevé ». Il ajouta que « le changement climatique est
devenu un facteur déterminant dans les perspectives à long terme des
entreprises… nous sommes au bord d’une refonte fondamentale de la
finance »2. À partir de ce
point-ci de l’Histoire, l’investissement dit « GES / ESG » (Gouvernance
Environnementale et Sociale [Environnemental & Social Governance],
pénalisant les entreprises émettrices de
CO² comme ExxonMobil, est devenu à la mode parmi les fonds
spéculatifs et les banques et fonds d’investissement de Wall Street,
incluant les fonds State Street et Vanguard. Tel est le pouvoir de
Blackrock. Fink a également été en mesure de convaincre quatre nouveaux
membres du Conseil d’Administration d’ExxonMobil de mettre fin aux
activités pétrolières et gazières de la société." «Cette
lettre Fink de janvier 2020
était une déclaration de guerre de la Haute finance contre l’industrie
de l’énergie conventionnelle.
BlackRock a été en effet
un membre fondateur du Groupe de travail
sur la « Divulgation Financière relative au Climat » (GDFC) [Task
Force on Climate-related Financial Disclosure (TCFD)]3,
et fut par ailleurs un signataire des Principes pour un Investissement
Responsable (PIR) des Nations unies [UN PRI – Principles for Responsible
Investing] : un réseau d’investisseurs soutenu par l’ONU qui encourage
les investissements « zéro carbone [Zero Carbon] » en utilisant la
GES/’ESG hautement corrompu en ce sens.» «Par
cette lettre fatidique de janvier 2020, le PDG de Blackrock Larry Fink
donna le coup d’envoi d’un désinvestissement colossal dans le secteur
mondial du pétrole et du gaz, à hauteur d’un billion [1000 milliards] de
dollars. Notablement, la même année, le même
Larry Fink de BlackRock a été nommé au Conseil d’Administration du Forum
économique mondial (FEM)
dystopique de Klaus Schwab, qui sert de « lien » entre les entreprises
et la politique de l’Agenda 2030 des Nations unies « zéro carbone ». En
juin 2019,
le Forum économique mondial et les Nations unies ont signé un
accord-cadre
de partenariat stratégique pour accélérer la mise en œuvre de cet Agenda
2030. Sans surprise, le FEM dispose d’une plateforme d’intelligence
stratégique qui inclue les 17 objectifs de développement durable de
l’Agenda 2030.» «Joe
Biden : un « Président BlackRock » ? Au début de sa
candidature présidentielle alors bien terne, Biden eut une réunion à
huis clos, fin 2019, avec Larry Fink, à l’occasion de laquelle il fut
rapporté que ce dernier avait dit au candidat : « je suis là pour aider
». Après sa rencontre fatidique avec Larry Fink de BlackRock, le
candidat Biden a soudainement annoncé : « Nous allons nous débarrasser
des combustibles fossiles… » «Cette
nomination s’est avérée catastrophique pour l’industrie pétrogazière. En
effet, Deese, l’homme lige de Fink, a été actif pour faire passer au
nouveau président Biden une liste des mesures anti-pétrole à signer par
décrets exécutifs, à compter du premier jour de janvier 2021» ---- Page : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68
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