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---- Pour atteindre l'objectif souhaité, le « Comité des Trois Cents » utilise un large arsenal de moyens : argent, force militaire, médias, drogue, culture (ou plutôt, anti-culture ou contre-culture), religion (ou plutôt, pseudo-religion et même satanisme pur et simple), services de renseignement (le même service de renseignement MI-6), etc. Pour prendre le pouvoir, le « Comité des Trois Cents » promeut ses membres à des postes clés de l'État. Et pour contrôler efficacement des millions de gens ordinaires, il « redémarre » leur conscience avec l’aide des médias, des sectes païennes, de la débauche sexuelle, des drogues et d’autres moyens de contre-culture. "John Coleman soulève une remarque intéressante : le gouvernement américain ne cache pas particulièrement le fait qu’il est impliqué dans la création d’un nouvel ordre mondial et que le résultat final de celui-ci sera la création d’un État mondial unique et d’un gouvernement mondial unique. Mais en même temps, ils créent l’impression dans l’opinion publique américaine que tous les Américains seront les bénéficiaires de ce projet. Après tout, l’Amérique est « en avance sur le reste du monde » en termes de puissance économique. L’Amérique, disent-ils, deviendra le détenteur d’une « participation majoritaire » dans « l’empire mondial ». Ils disent : « empire mondial » = Pax Americana. Mais, selon Coleman, il s'agit d'une illusion dangereuse créée pour garantir qu'il n'y ait pas d'opposition en Amérique aux plans du Comité des 300. En fait, comme le note Coleman, les bénéficiaires du projet « d'empire mondial » ne seront que les « élus », c'est-à-dire les membres du « Comité des 300 » et leurs plus proches associés. Et les Américains ordinaires seront tout simplement « abandonnés ». Soit ils finiront comme des « personnes superflues » sur la planète (sujets à « élimination »), soit ils deviendront les esclaves des maîtres de « l’empire mondial »." "John Coleman, en particulier, décrit en détail qui, comment et dans quel but a lancé la révolution de la « contre-culture » à partir du milieu des années 60, qui s'est exprimée par l'introduction de la culture punk, des hippies, de la musique rock et des Beatles parmi la jeunesse américaine. Cela a été suivi par la révolution sexuelle, la toxicomanie généralisée de la société américaine, une montée du gangstérisme et toutes sortes d’autres expériences visant à la « grande réinitialisation » du mode de vie américain. L’Amérique étant la « norme » reconnue, son expérience de la « grande réinitialisation » était vouée à se propager dans le monde entier. La « Grande Réinitialisation » a également touché l’économie américaine. L’Amérique, à la demande du Comité des 300, doit démontrer au monde entier comment réaliser la transition d’une économie industrielle à une économie « post-industrielle ». En termes simples, comment réaliser la désindustrialisation. Coleman accorde une attention particulière à cette question. Cette désindustrialisation de l’Amérique a été organisée et supervisée par l’un des membres du « Comité des 300 », Etienne Davignon. Coleman note déjà qu’au début des années 1990, il y avait eu « l’affaiblissement d’industries américaines telles que l’acier, l’automobile, la construction navale et le complexe agricole, mené dans le cadre de la politique post-industrielle de croissance zéro, menée à la demande du Comité des 300 sous la direction de l’aristocrate français (certains disent belge), le comte Étienne Davignon. »"
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